domingo, 14 de octubre de 2007

RIEN NE VAUT LA VIE

Ma contribution à cet échange. C'est une histoire absolument véridique qui commençait en jeu et à fini en cocufiage... L'été dernier nous étions au Portugal et avons décidé, après 12 jours passés en famille, de prendre congé pour une escapade romantique à Lisbonne.


Nous avons trouvé un bel hôtel dans le centre de Lisbonne et à peine arrivé dans la chambre nous décidâmes d'aller nous promener en ville. Juste avant de sortir nous décidâmes de prendre une douche et de nous changer car la route jusque là avait été longue.


J'étais déjà habillé quand Sandrine sortie de la salle de bain et je lui avais, comme j'ai l'habitude de faire, choisit une petite robe bleue pour sortir. Au moment de l'enfiler elle allait choisir ses sous vêtements quand je lui demandais de ne pas mettre de culotte...Elle sourit et me dit ok mais elle voulait mettre un soutien gorge car dotée d'une poitrine lourde et forte elle se sent gênée de ne pas en porter. Nous sortîmes donc de l'hôtel et descendions un peu plus en aval de la ville vers le quartier piéton de l'Alfama. Je profitais de toutes les occasions et du peu de monde par endroit pour caresser les fesses nues de Sandrine et cela a eu pour effet de me faire bander tout le long de la ballade.

Accablés par une température d'environ 38 degrés nous décidâmes de nous restaurer à une terrasse dans le coeur très typique et peu touristique de la ville

Sandrine, et je ne dis pas ça parce que c'est ma femme, est une très belle brune typée d'1m73 avec des hanches fines et une poitrine très volumineuse. Je ne vous cache pas que sitôt assis les regards des hommes en terrasse ou au bar étaient rivés sur elle. Nous sirotions tranquillement un jus lorsque je fis remarquer à Sandrine l'insistance avec laquelle un type à la table juste en face de nous reluquait entre ses cuisses. Sandrine me dit de parler moins fort car beaucoup de portugais comprennent le français.

Lors de nos jeux amoureux nous avons souvent fantasmé Sandrine et moi sur des plans exhibitions et je sais que souvent sa jouissance était décuplée quand elle s'imaginait des hommes la désirer et la regarder. Aussi je profitais de la situation et lui demandais si elle ne voulait pas jouer un peu avec ses nerfs. Elle me dit d'abord en rigolant "t'as vu sa tête". Je luis répondis "Pour une première ça peut aller non?".

Elle me sourit et me dit" Ok mais tu me dis ce que je dois faire". Sa réponse me mis dans un état d'excitation incroyable. Je lui demandai de se tourner légèrement vers lui pour lui faire un peu plus face. Elle s'exécuta sans le regarder et croisa les jambes dans sa direction. Je lui dit alors:

décroise légèrement les jambes. Elle le fit et je vis derrière mes lunettes de soleil le type regarder fixement entre ses cuisses. "Ouvre un peu plus !" Le type avait maintenant à 3 mètres de lui une vue imprenable sur le sexe rasé de ma femme. Il fit mine de se pencher pour nettoyer sa chaussure et regarda sous sa robe et je vis un frisson parcourir les bars de Sandrine. Elle me dit "il va s'apercevoir que je suis excitée tu sais..." Je lui dis" Très bien". Je lui demandais alors de regarder le type fixement. Elle refusa mais me dit "regarde". Et là elle passa sa main sur sa cuisse tout en sirotant son verre et la fit remonter comme si elle se grattait jusque sur son sexe. Elle venait de se toucher devant lui. Elle me montra ses doigts ils étaient trempés.

L'homme devait forcément se rendre compte de son excitation et Sandrine me dit: "regarde discrètement son bermuda". Je regardais. Une bosse incroyable s'était formée sous son bermuda indiquant qu'il ne portait pas de sous vêtement. il bandait de voir la chatte de Sandrine. Pendant près de 10 minutes elle croisait puis ouvrait plus largement ses cuisses face à lui.A un moment elle me dit: "il vient de se toucher par dessus son short en me regardant" Je lui dis "Ca t'excite?" Elle me dit que oui. Je n'en pouvais plus. Je me demandais si on pouvait aller plus loin et comment...Je dis à Sandrine qu'il était temps d'y aller et que nous allions voir si l'homme allait nous suivre.

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